À partir du 1er janvier 2025, la prévoyance suisse évolue avec des ajustements significatifs concernant le pilier 3a, offrant aux résidents suisses de nouvelles possibilités pour optimiser leur épargne-retraite. L’introduction des rachats rétroactifs et l’augmentation des plafonds de déduction fiscale marquent un tournant pour les assurés, notamment ceux qui n’ont pas pu maximiser leur épargne chaque année. Cet article examine en détail les nouvelles règles, les implications fiscales, et les avantages pour différents profils d’épargnants.
Le 1er septembre 2024 marque un tournant décisif pour le secteur de l’assurance maladie en Suisse avec l’entrée en vigueur du nouvel accord de branche concernant les intermédiaires. Cette réforme ambitieuse introduit des mesures clés, telles que l’interdiction du démarchage téléphonique à froid, la limitation des rémunérations des intermédiaires, et l’obligation d’un procès-verbal de conseil. Destinées à renforcer la qualité des services et à protéger les assurés, ces nouvelles règles imposent un cadre plus strict pour les pratiques commerciales des assureurs, tout en promettant un marché plus transparent et éthique. Swiss Times Fiduciary soutient ces réformes, convaincue qu’elles permettront d’améliorer la qualité des conseils, d’éliminer les acteurs peu scrupuleux, et de redorer l’image de la profession.
Le troisième pilier, qui comprend le pilier 3a et le pilier 3b, est un élément clé du système de prévoyance en Suisse. Il complète les prestations des deux premiers piliers et offre des avantages fiscaux tout en permettant de sécuriser votre avenir financier. Le pilier 3a, lié à la retraite, propose des économies d’impôts et des options d’épargne rigoureuses, tandis que le pilier 3b, plus flexible, vous permet de planifier des projets à moyen terme.